Transtica 2009 : mon récit

Félicitations

En premier lieu je tiens à remercier et féliciter l’organisation pour les actions humanitaires entreprises durant la course. De nombreuses dotations on été réalisées auprès des communautés traversées. De nombreux dons de matériel scolaire et médical ont été effectués, permettant aux populations locales d’améliorer leur quotidien.

Je tiens à remercier également l’organisation pour le choix du parcours, et la beauté des régions traversées. Nous avons put apprécier la richesse de la faune et l’extravagance de la flore.

Mais mes compliments s’arrêtent là.

L’organisation

Dès le premier jour, je me suis rendu compte des déficiences de l’organisation. Bernard (directeur de course) ne parvenant pas à s’imposer, les membres de l’organisation semblaient livrés à eux mêmes, sans responsabilité ni rôle précis. On n’a jamais trop su qui faisait quoi. Une organisation sans chef n’est pas viable. Nous étions souvent témoins de coups de gueules, démontrant une mauvaise ambiance au sein de l’équipe.

La communication

La communication auprès des coureurs a été quasi inexistante durant toute la durée de l’épreuve.

Les briefings étaient réduits à leur plus simple expression. Nous ne savions jamais à quelle heure les repas étaient organisés, à quelle heure il fallait se lever ou commencer la course. Nous avions proposé à l’organisation d’indiquer les informations importantes sur un panneau, mais cette idée n’a jamais été appliquée. A croire que ce n’était pas la volonté d’informer qui manquait, mais l’information elle même. L’organisation avançait à vue, sans aucune anticipation, ne sachant pas ce qu’on allait faire l’heure suivante. J’ai pour exemple, le rituel quotidien de Bernard s’acharnant pendant des heures à imprimer les road-book illisibles sur du papier humide en pleine jungle. Il aurait été plus logique d’imprimer ces road-books avant la course, quitte à effectuer quelques retouches si nécessaire.

Actions humanitaires

Chaque action humanitaire a été réalisée au sein de communauté durant des moments chaleureux.

De beaux moments de partages inoubliables.

Mais il y a une action humanitaire que je n’ai pas appréciée, c’est celle qui a été effectuée au sein de la communauté le la rivière Paquare lors de notre étape de Raft. C’est une communauté indigène qui vivait il y a encore quelque temps, en quasi autarcie. Les richesses locales (fruits, animaux) suffisant à les nourrir. Leur mode de vie leur convenait et les rendait heureux. Mais l’organisation a entrepris de leur apporter du matériel de construction afin qu’ils développent une activité touristique en bordure du fleuve. Etrange méthode. Plutôt que de protéger un peuple et leurs traditions séculaires, on les incite à se rapprocher de la civilisation, on leur fait briller les dollars devant les yeux. Le grand gagnant de cette opération est sans nul doute, le tour operator, qui pourra ainsi bénéficier des infrastructures en faisant séjourner quelques bons gros américains. Dans quelques années, en débarquant sur la rive, on pourra déguster un Coca Cola tenu bien frais dans un distributeur, les enfants pianoteront sur leur téléphone portable, on pourra dormir dans un lodge climatisé et observer des animaux dans des cages et vivariums. Les enfants que l’on a rencontré, jouant avec des morceaux de bois, seront partis à la ville, attirés par ses lumières, essayant de subsister en vendant quelques minables copies de DVD sur une bâche plastique. La petite fille au beau sourire qui se balançait sur le hamac aura peut-être rejoins les autres filles qui dansent sur le bar de la Panthère Rose.

Ne confondons pas action humanitaire et ingérence. Le progrès technologique n’est pas synonyme de bonheur.

La course

Si il y a bien un domaine où l’organisation a failli, c’est celui de la course.

La Transtica a mal commencée avec un prologue de 6km sur une plage occupée par les touristes. Nous devions slalomer entre les serviettes et les chiens. Aucun intérêt sportif.

Le lendemain, la première étape de l’Extrême partait de la plage Pacifique à 9h du matin: trop tardif, on allait devoir courir 17km en plein soleil. Résultat, plusieurs hyperthermies et défaillances. J’ai personnellement été contraint de m’arrêter pendant 45mn, ne pouvant plus avancer, allongé dans les fougères, sans force et cherchant mon souffle, pensant abandonner. Laurent a été en plus mauvais état que moi, secouru par les pompiers. J’ai put quand même repartir jusqu’au PC3 où j’ai appris que la course était neutralisée pour cause de manque de balisage dans la portion traversant la jungle. En fait, c’est un baliseur de l’organisation qui s’est trompé de sentier et qui n’a pas jugé utile de prévenir qui que ce soit. Résultat: une vingtaine de coureurs perdus en pleine jungle, une organisation débordée ne sachant quoi faire, aucun moyen de communication opérationnel, la catastrophe. Durant toutes les courses que j’ai effectuée, je n’avais jamais vécu une défaillance et une erreur aussi grave de la part de l’organisation. Par chance et sans que l’organisation y soit pour grand chose, finalement, tous les coureurs sont parvenu à l’arrivée. Un vrai miracle.

Pour couronner le tout, l’organisation ne s’est pas donné les moyens de conserver l’étape du lendemain. A mon sens, elle aurait dut faire le maximum pour essayer de baliser l’étape du lendemain, quitte à y passer la nuit. Au lieu de cela, l’étape suivante a été annulée et transformée en marche de liaison. Peut-être la plus belle étape de jungle: annulée. A ce moment là, il était clair que la course n’avait plus d’intérêt. La course était morte. Alors à quoi bon continuer sur un parcours Extrême amputé des 2/3 de sa distance ? Pourquoi continuer à prendre des risques ? Quelle catastrophe allait encore nous réserver l’organisation ?

Les 5 membres de Run & Sens décidèrent alors, d’un commun accord, de rejoindre le parcours Aventure afin de limiter les risques. On ne s’imaginait pas encore devoir subir des incidents de courses sur 40km de jungle.

Nous avons rejoins le classement Aventure avec de fortes pénalités chronométriques. Plutôt que de conserver le temps du prologue (27mn pour Alain, 29mn pour moi…), c’est 36mn qui nous a été affecté à chacun des 5, et cela sans raison particulière. Le temps qui nous a été affecté pour l’étape 1 est de 2h28, soit 1h de plus que le plus mauvais temps de l’étape Aventure. Personne de l’organisation n’a jugé utile de nous expliquer ces pénalités et je n’ai trouvé aucune trace de ces pénalités dans le règlement. Si il devait y avoir des distributions de pénalités, ça aurait dut être l’organisation qui devait recevoir un carton rouge, et pas nous, qui avions décidé de jouer la prudence. Il est clair qu’avec des pénalités aussi importantes, nous n’avions plus aucune chance de bien figurer au classement général. Mais tant pis, cela n’avait plus d’importance.

Les 2 étapes suivantes se sont succédées sans problèmes majeurs. Nous avons pris plaisir à courir ensemble sur des étapes plus courtes (25km en moyenne) et variées (jungle, chemins).

Mais les dérives de l’organisation allaient vite nous rattraper car la dernière étape a été catastrophique. Au briefing, l’organisation nous avait indiqué que nous allions traverser une rivière et que nous aurions pied mais qu’il ne fallait pas apporter d’appareil photo. Le départ est donné sur un sentier hyper boueux de 2km, jusqu’au bord de la rivière que nous commençons à franchir, mais le niveau d’eau est bien supérieur à ce qui était annoncé. Il faut nager sur une vingtaine de mètres avec sac à dos et baskettes. Jean-Jaques panique et manque de se noyer. Il en sera quitte avec la perte de ses lunettes. Ici aucun membre de l’organisation pour prévenir, ni sécuriser le parcours. Un peu plus loin, nous sommes stoppé par Alain de l’organisation qui nous indique que nous devons franchir une rivière qui se jette dans l’océan. Le départ sera redonné de l’autre côté de la rivière. Il va falloir encore nager car le niveau est haut. Quelques membres de l’organisation sont là pour donner un coup de main. Et là, grosse panique, tout le monde fait trempette dans la rivière, et plusieurs coureurs sont entrainés par le courant vers l’océan. Je fais parti de ceux là. Etant mauvais nageur, je manque me noyer et trouve l’assistance de Jacques qui m’aide à rejoindre le bord. Brenda est secourue in extremis par 2 pompiers. D’autres coureurs-nageurs ont de sérieuses difficultés. C’est la panique. Je ne sais pas encore par quel miracle il n’y a pas eu de noyé!

A aucun moment, l’organisation ne nous a prévenu qu’il était nécessaire de traverser des rivières à la nage. Personne de l’organisation ne s’est soucié de savoir si tout le monde savait nager. Lamentable, dangereux et irresponsable. Les passages de rivières n’étaient pas sécurisés : juste une corde tenue par 1 gars, qui pendait au fond de l’eau, complètement inutile.

Le Raft

L’étape de Raft se voulait être un moment de relaxation. En fait, c’est 25km en 4h sur la rivière Paquare (une des 3 rivières les plus remuantes au monde). Des passages en classe 3 (difficile) jusqu’à 4+ (très difficile). J’embarque avec 5 autres coureurs sur le dernier des 6 rafts piloté par un barreur costa-ricien qui s’avère vite limité : il est blessé et pas très aguerri.

Ce parcours de Raft nous permet de traverser des paysages de jungle fantastiques, une beauté sauvage à couper le souffle. Certainement un des plus beau panorama que l’on ait put admirer durant la Transtica.

Mais le plaisir est de courte durée: au 2ème passage de 4+, le barreur nous envoie sur une vague transversale qui nous retourne comme un crêpe : tout le monde sous l’eau et le raft par dessus. Ca donne l’impression d’être dans une machine à laver sans pouvoir en sortir. Par chance, je parviens à m’extraire de ce piège et réussis à m’accrocher au raft que je dois rapidement lâché pour permettre au barreur de le retourner. Nous somme plusieurs à dériver dans les eaux tumultueuses, secoués et engloutis, remontant à la surface entre 2 tasses d’eau boueuse avalées. Laurent et Nicolas disent avoir touché les griffes de la mort. Ils en frémissent encore. Heureusement, nous serons tous repêché tant bien que mal un peu plus loin.

La nourriture

L’alimentation était souvent insuffisante et inappropriée : le matin, nous devions manger du riz, des haricots rouges et des oeufs 1 heure avant la course : très peu digeste, alors, certains faisaient le choix de partir à jeun en se contentant de barres énergétiques.

Après course, nous n’avions pas souvent à manger et devions attendre l’unique repas du soir, 1h avant de se coucher, pas terrible.

Le staff médical

L’équipe médicale était constitué d’un docteur et d’un kiné. Stéphane le kiné a fait un travail formidable, ne comptant pas ses heures ni ses efforts à soigner courbatures, entorses, ampoules et autres tendinites. Un super boulot de pro.

Ce n’est pas la même chose pour le toubib qui n’avait même pas de trousse de secours. Il ne valait mieux pas avoir besoin de ses services.

Conclusion

L’organisation a privilégié nettement l’aspect humanitaire à l’aspect sportif. C’est malheureusement l’inverse pour les coureurs : nous autres coureurs, étions engagés sur une course à pied. Le côté humanitaire, même si il était important, passait en second plan.

J’ai participé cet été au Grand raid du Mercantour qui a connu une terrible tragédie : la mort de 3 concurrents. Ces 3 coureurs sont décédés lors la pratique de leur sport favori, dans des conditions mystérieuses et une météo défavorable. Je pensais naïvement que cette catastrophe aurait servi de leçon à toutes les équipes organisatrices de courses nature mais ce n’est apparemment pas le cas. Durant cette Transtica 2009, j’ai souvent pensé à ces 3 coureurs. Je leur rend hommage ici.

Ce récit un peu noir, ne doit pas décourager le pèlerin : le Costa Rica est un pays magnifique et j’invite tout le monde à le parcourir. Ses habitants sont accueillants, les paysages magnifiques, les animaux extraordinaires et la flore exubérante. Même si la course ne s’est pas déroulée dans les meilleures conditions, j’ai appris à connaître et apprécier ce pays durant ces quelques jours et j’ai vécu une expérience riche et inoubliable. Nous avons vécu une aventure humaine intense et forte en émotion. Les liens entre les coureurs étaient fort et le resteront encore longtemps.

PURA VIDA !

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9 Replies to “Transtica 2009 : mon récit”

  1. Merci pour ce récit-réquisitoire.
    Quand on y réfléchit un peu, on s’apper
    coit que n’importe qui peu organiser un peu n’importe quelle course dans n’importe quel coin du monde sans autre forme de procès !!!
    Comme les courses extrèmes sont à la mode, que les voyages au bout du monde aussi, cela offre d’énormes possibilités.
    C’est vrai aussi que les concurents – consommateurs ont tendance à perdre le sens des réalités et souhaiteraient , au bout du monde que tout soit ‘bordé’ comme à la maison.
    Déja que dans un voyage organisé pépère en autobus dans un pays comme le Magreb, y’a des surprises, alors on imagine une course extrème dans une jungle d’un pays sous développé …
    Il y a une analogie entre votre course – qui s’est heureusement terminée avec plus de peur que de mal – et la tragédie du Mercantour, la nature sauvage est dangereuse et courir à 3000m d’altitude en polo avec un sac à dos de 4 kg, ca craint un max quelle que soit l’organisation.
    C’est évident que l’organisation a fait preuve d’une certaine légèreté, mais par ailleurs c’est aussi un peu présomptueux de vouloir cotoyer les tribus d’indiens dans leur jungle et leur sur leurs rivières tumultueuses à pied sec et en toute sécurité… C’est un peu le paradoxe de notre société, on veut du frisson, mais seulement le frisson…
    Bon, bien heureux que vous soyez tous là – enfin presque, on espère que le coach et son épouse ne vont pas se faire bouffer les doigts de pieds sur la plage par les monstrueuses tortues marines.
    Vive Run et bon sens
    JPG

  2. Salut les gars !

    Belle escapade que voilà …. On peut effectivement se demander comment sont donnés les agréments aux organisateurs,si toutefois ils sont donnés pôur l’étranger…
    Dans toute xpérience,il y a du positif! Vous avez là vécu un stage de survie dans lequel vous ressortez fort heureusement vainqueurs et indemnes . Mais que de leçons à tireretà faire partager avec la communauté ! !
    Digérez bien cette aventure , et tirez parti de ces moments d’émotions, nous sommes finalement chanceux de vivre de tels instants même si parfois on s’en passerait sur le coup!

    Olà mes amis, à nouvau chapeau bas pour votre clairvoyance !!

    JP

  3. Bonjour à toi et à tous les collegues Run et sense,

    Avant de revenir sur ton recit, je souhaitais également vous dire que j’ai énormèment apprécié de vous connaitre et que j’ai passé des moments inoubliables en votre companie, merci.

    Par contre, je ne peux pas rester sans prendre mes 2 doigts et mon clavier pour réaliser un commentaire sur ton recit !
    Il est vrai que tout n’a pas été clair et limpide dans l’orga, pour moi seul le balisage du 1er jour est à repprocher.

    Pour le reste j’en reste sans voix quand par exemple tu n’as pas apprécié le prologue … une plage semi desertique et paradisiaque où j’ai en effet croisé une dizaine de touristes sur 6 km … et le pire pour moo c’est quand je lis ta critique plus que salé sur la communauté sur la rivière PACUARE!
    Je pense que tu n’as pas pris le soin d’écouter ce qui a été dis par Helena où par les resp. des communautés ! Les pelles, clous et autres objets que nous avons apporté vont servir pour renforcer, construire LEUR MAISONS a 2/3 heures de marche de la rivière et JAMAIS il été question de les aider à construire des lodges pour touristes ! Leur demande initiale était pour info d’amener 15 tentes et Sylvain a tout simplement refusé vu que ce n’est pas du tout dans l’esprit de la Transtica ! Comment tu peux t’inventer et écrire ça !! et faire la comparaison entre la petite indigène de 3 ans et un bar a putes de San Jose, j’en suis plus que touché, choqué !!

    Idem pour le passage de riviere du dernier jour, il y avait 5 pompiers + l’orga qui avait pris les choses en main pour faire traverser tous les coureurs en toute sécurité cette fameuse petite rivière, comment tu peux dire qu’il y avait un seul mec avec une cordelette !!

    C’est vrai que cette course n’est pas une course stérile où 1050 COUREURS – TOURISTES viennent pour essayer de trouver un peu de sens à leur course, où tout est réglé au millimètre près avec pause photo et pipi organisé et indiqué sur un tableau, où on mange nos bons sachets iophilisés achetés au vieux campeur, où on dors dans nos tentes quechua, où ne prends même pas le temps de discuter avec la population locale, où le soir on passe son temps à jouer avec sa nintendo en réseau … ici c’est avant tout une réelle aventure solidaire, humaine et sportive où la vie est rude … peux être trop rude pour certains “extremes” … qui sont revenus sur le “petit” parcours dès le 1er jour (c’est encore la faute de l’orga si il fait chaud au Costa rica ?), un peu déçus d’avoir eu une pénalité et de se voir sur le classement derrière des “petits” comme moi !

    PS pour info le doc Georges avait un sac a dos de plus de 15 kg de matériel médical qui n’a pas été nécéssaire hormis pour soigner une tourista en pleine nuit …

    Mon commentaire reste mon impression et toi la tienne et je respecte les opinions de chacun, on n’as juste pas vécu la même Aventure.

    Sportivement
    Pura VIDA
    Nicolas

  4. Salut Nico,
    moi aussi j’ai été trés heureux de faire ta connaissance et j’espère qu’on se reverra rapidement.
    Oui, mon récit, est une vision personnelle de la course comme on en a chacun une. Je confirme et j’assume tout ce j’ai écris.
    Sache que j’ai déjà participé à des courses beaucoup plus difficiles et exigantes physiquement et que la difficulté et la longueur de cette course n’a pas été un soucis pour moi. Le problème est que l’organisation n’a pas pris la mesure des difficultés et a entrainé les coureurs dans des situations risquées et non maitrisées. C’est cela que je reproche. Je ne veux plus jamais revivre le drame du Mercantour.
    Concernant la communauté du Pacuare, j’ai volontairement forcé le trait parce qu’il me semble que l’action humanitaire dérapait quelque peu. Je confirme le souhait de la communauté de développer l’aspect touristique de leurs installations. Ca a été clairement dit. D’ailleurs, nous avons tous put remarquer les installations déjà présentes : tentes sous abris en bois, WC et sanitaires en faience, abords paysagés, etc…
    Excuse-moi de t’avoir choqué, mais pose-toi la question de savoir d’ou viennent tous ces pauvres gens à San José. Beaucoup d’entres-eux viennent des campagnes reculées et sont attirés par les lumières de la ville.

    Concernant le Doc, tu peux demander à Christian (le breton) pour l’histoire de la bouteille d’eau.

    A propos de notre passage sur la course Aventure, je confirme ce que j’ai dit : nous ne regrettons pas notre choix et le classement n’a pas d’importance.

    Recois toutes mes amitiés,
    Jean-Luc

  5. Bonjour Jean Luc

    Ton récit nous interpelle et nous saurons en tirer les enseignements qui s’imposent, car nous savons , même lorsque certaines critiques nous semblent injustifiées, reconnaitre les points qu’il nous faut améliorer.

    Nous ne souhaitons pas polémiquer sur ton récit écrit sur la base de ce que tu as ressenti, ce que nous respectons d’autant que chacun aura pu vivre cette aventure d’une manière différente.

    Bernard et Philippe

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